Ouragan était enfin arrivé au camp de la Horde. La charrue était bien visible, à l'entrée des barricades du camp.
Il attendit quelques instants, surveillant l'horizon et jetant des coup d'oeil sur les entrées est et ouest du camp. 2 gardes barraient l'entrée du coté ouest, il ne passerait pas par l'entrée principale sans que les gardes ne se doute de quelque chose. Le campement grom gol avait d'habitude 2 gardes disposés à chaque entrée. Seul le coté ouest était surveillé...
Il choisit alors de contourner le camp du coté Est mais il mettrait plus de temps à atteindre la charrue. il attendit le moment où les gardes furent hors de portée de l'entrée pour pénétrer dans le camp et déplaça lègèrement la charrue. Il vit quelque chose remuer dans le foin et dégaina son épée.
"Seigneurrrrrrr non!
je suis le nain que vous avez rencontré il y a quelques temps de ça près du camp de chasseurs."
Ouragan ne rangea pas son épée pour autant et lui demanda d'une voix ferme et aggressive:
" Tu m'as déclaré être dans l'impossibilité de récupérer ta charrue et je te vois la caché dans le foin. j'en conclu que tu ne cherchais pas à obtenir la charrue.
- IL EST LA , C'EST LUI, avait alors hurlé le nain échappant alors à la vue de Ouragan qui était resté hésitant quelques secondes, des secondes de trop.
Les 4 gardes du coté Est et ceux de l'entrée principale accourraient.
-Maudit nain, pensa Ouragan. C'était un Guet apens.il brandit sur épée pour fracasser le bouclier du premier orc qui s'etait lancé dans la bataille; mais les haches de guerre s'abattaient lourdement sur sa maille et le firent plier, genoux à terre. L'orc dont le bouclier était détruit riait d'un rire de vengeance, de cruauté./i]
[i]Dns un dernier élan il chargea le 2eme orc le transperça de sa lame, bloqua l'attaque du 3eme pendant que le 4eme et l'orc au bouclier détruit accouraient à sa rencontre.
le 4eme orc était malin, il désarma Ouragan. Plus fort, plus vaillant et surtout plus intelligent que ses comparses, il s'appretait à lui donner le coup de grâce.
Iltomba lourdement sur le sol, les 3 compères venaient de le rejoindre sur le sol, le dos brûlé tel le corps désarticulé d'un pantin auquel on aurait retiré tout envie de force.
Ouragan avait en face de lui une jeune femme. Son visage gardait les caractéristiques d'une enfant mais la force d'un homme. Elle avait les yeux aussi bleu que le ciel et la chevelure aussi blonde et brillante que les reflets du soleil sur son armure. Elle incanta alors quelques formules en latin dont ouragan ne connaissait pas le sens; il se releva et lui dit:
"- tu es un mage, n'est ce pas?"
A SUIVRE